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Image - Portrait de Maria Valtorta -  peinture de David Kownacki - par lot de 20
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Image - Portrait de Maria Valtorta - peinture de David Kownacki - par lot de 20

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Image - Portrait de Maria Valtorta - peinture de David Kownacki

Au verso,  la prière :
Seigneur, vous avez fait connaître votre vie et vos enseignement à Maria Valtorta. Elle s'est offerte dans la douleur et a vécu sans s'épargner. Nous vous demandons qu'elle soit élevée par l'Église au rang de Bienheureuse afin que grâce à son exemple de nombreuses âmes puissent mieux vous connaître et vous aimer.

Ce pack contient

F133A

 

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Clouée au lit depuis de nombreuses années, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile. Cette vie de Jésus, étonnante de précisions, a été lue, à titre personnel, par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans. Les visions de Maria Valtorta sont publiées en France sous le titre « L'évangile tel qu'il m'a été révélé ».

L’évangile tel qu’il m’a été révélé (10 tomes) rassemblent les visions reçues entre 1943 et 1950 par Maria Valtorta. Elle voit ainsi les scènes de l’évangile, telle une série télévisée : les dialogues de Jésus avec ses contemporains, les enseignements aux apôtres, aux fidèles, ses dialogues avec Sainte Marie, les miracles… Maria Valtorta consigne visions et dictées au fur et à mesure qu’elle les reçoit (122 cahiers au total, représentant 13.200 pages manuscrites).

Qui est Maria Valtorta ?
Maria Valtorta (1897-1961) est une mystique laïque italienne, clouée au lit depuis neuf ans, lorsqu’elle reçoit la vision de Jésus mourant sur la croix.

Le 17 mars 1920, tandis qu’elle chemine en compagnie de sa mère à Florence, elle est agressée par « un petit délinquant, fils d’un communiste et de notre modiste. Avec une barre de fer extraite du montant d’un lit, il arriva par derrière et cria : « À bas les riches et les militaires ! tout en m’assénant, de toute ses forces, un coup terrible». Après trois mois d’immobilisation, elle part, pendant deux ans, en convalescence dans sa famille maternelle à Reggio de Calabre.

Elle est la fille unique de Giuseppe, un sous-officier de cavalerie, pour qui elle avait une grande et profonde affection et d’une enseignante de français, Iside Fioravanzi.

En 1924, la famille s’établit définitivement à Viareggio, en Toscane où Maria Valtorta s’engage dans l’Action catholique. En 1925, elle s’offre à l’Amour miséricordieux et le 1er juillet 1931, s’offre au Seigneur comme victime expiatoire pour les péchés des hommes. Sa santé se détériore progressivement.

Sa mère, très autoritaire et acariâtre qui exigeait l’exclusivité de l’attention de sa fille, ne supporte aucun soupirant de sa fille. Elle casse, par deux fois, les fiançailles de sa fille. Maria Valtorta se déplace en divers endroits d’Italie, au gré de l’affectation du régiment de son père.

Elle commence alors à recevoir les scènes de l’Évangile. Elles sont écrites sans suite apparente, d’une seule traite, sans ratures mais parfaitement cohérentes entre elles. C’est là que Maria Valtorta remplit 122 cahiers, soit près de 15.000 pages manuscrites, avec la description des visions et révélations qu’elle reçoit du Seigneur à partir de 1943 jusqu’en 1947, mais en mesure moindre jusqu’en 1953.

À partir du 1er avril 1934 elle demeure définitivement clouée au lit. Elle y restera 27 ans. Brusquement le Jeudi-Saint, elle reçoit la vision de Jésus sur la Croix et le sens de sa mission : Elle peut attirer d’autres regards vers la croix « en acceptant de vivre, à cette fin, dans un désert aride, seule avec la croix ». Elle accepte.

Elle s’éteint le 12 octobre 1961 à 10h35. Vingt mois auparavant, elle avait vu, l’œuvre mise à l’Index parce que l’éditeur n’avait pas demandé l’autorisation au Vatican (pratique de l’époque, abandonnée depuis). Selon les directives de Jésus, sa publication devait être faite seulement après sa mort. En guise de testament spirituel, Maria Valtorta laisse comme souvenir, la phrase sui-vante: « J’ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer ».

Le 2 juillet 1973, sa dépouille a été transférée de Viarreggio à Florence dans une chapelle de la Santissima Annunziata.
Sa tombe, dans une des chapelles, mentionne ses titres de Gloire : «Tertii ordinis servorum Sanctae Maria sodalis – Hostia Deo grata – Divinarum rerum scriptrix (Membre du Tiers-ordre des Servites de Marie – Hostie agrée par Dieu – Scriptrice de choses di- vines.)»

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