L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - Tome 1 - NOUVELLE TRADUCTION
L'évangile tel qu'il m'a été révélé - Tome 1
par Maria Valtorta (porte-plume de Dieu)
530 pages
édité par Centro Editoriale Valtortiano
ISBN 0000000043168
D’avril 1943 à novembre 1950, Maria Valtorta reçoit des visions et dictées quotidiennes consignées dans 13.193 pages de cahiers, soit 122 cahiers.
L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, est extrait des visions reçues de janvier 1944 à avril 1947. Publié dès 1956, l’Oeuvre rencontre un succès ininterrompu auprès d’un public varié.
L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, est extrait des visions reçues de janvier 1944 à avril 1947.
Publié dès 1956, l’Oeuvre rencontre un succès ininterrompu auprès d’un public varié.
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Maria Valtorta est une mystique laïque italienne, clouée au lit depuis neuf ans, lorsqu’elle reçoit la vision de Jésus mourant sur la croix. C’est le Jeudi-Saint, 22 avril 1943. Commence alors une série ininterrompue de visions et dictées qui durent sept ans et demi, jusqu’au mois de novembre 1950.
Maria Valtorta consigne visions et dictées au fur et à mesure qu’elle les reçoit (122 cahiers au total, représentant 13.200 pages manuscrites). Les trésors de cette œuvre furent la nourriture des papes et des saints contemporains !
L’évangile tel qu’il m’a été révélé (10 tomes) rassemblent les visions reçues entre 1943 et 1950 par Maria Valtorta. Elle voit ainsi les scènes de l’évangile, telle une série télévisée : les dialogues de Jésus avec ses contemporains, les enseignements aux apôtres, aux fidèles, ses dialogues avec Sainte Marie, les miracles… Maria Valtorta consigne visions et dictées au fur et à mesure qu’elle les reçoit (122 cahiers au total, représentant 13.200 pages manuscrites).
Qui est Maria Valtorta ?
Maria Valtorta (1897-1961) est une mystique laïque italienne, clouée au lit depuis neuf ans, lorsqu’elle reçoit la vision de Jésus mourant sur la croix.
Le 17 mars 1920, tandis qu’elle chemine en compagnie de sa mère à Florence, elle est agressée par « un petit délinquant, fils d’un communiste et de notre modiste. Avec une barre de fer extraite du montant d’un lit, il arriva par derrière et cria : « À bas les riches et les militaires ! tout en m’assénant, de toute ses forces, un coup terrible». Après trois mois d’immobilisation, elle part, pendant deux ans, en convalescence dans sa fa- mille maternelle à Reggio de Calabre.
Elle est la fille unique de Giuseppe, un sous-officier de cavalerie, pour qui elle avait une grande et profonde affection et d’une enseignante de français, Iside Fioravanzi.
En 1924, la famille s’établit définitivement à Viareggio, en Toscane où Maria Valtorta s’engage dans l’Action catholique. En 1925, elle s’offre à l’Amour miséricordieux et le 1er juillet 1931, s’offre au Seigneur comme victime expiatoire pour les péchés des hommes. Sa santé se détériore progressivement.
Sa mère, très autoritaire et acariâtre qui exigeait l’exclusivité de l’attention de sa fille, ne supporte aucun soupirant de sa fille. Elle casse, par deux fois, les fiançailles de sa fille. Maria Valtorta se déplace en di-vers endroits d’Italie, au gré de l’affectation du régiment de son père.
Elle commence alors à recevoir les scènes de l’Évangile. Elles sont écrites sans suite apparente, d’une seule traite, sans ratures mais parfaitement cohérentes entre elles. C’est là que Maria Valtorta remplit 122 cahiers, soit près de 15.000 pages manuscrites, avec la description des visions et révélations qu’elle reçoit du Seigneur à partir de 1943 jusqu’en 1947, mais en mesure moindre jusqu’en 1953.
À partir du 1er avril 1934 elle demeure définitivement clouée au lit. Elle y restera 27 ans. Brusquement le Jeudi-Saint, elle reçoit la vision de Jésus sur la Croix et le sens de sa mission : Elle peut attirer d’autres regards vers la croix « en acceptant de vivre, à cette fin, dans un désert aride, seule avec la croix ». Elle accepte.
Elle s’éteint le 12 octobre 1961 à 10h35. Vingt mois auparavant, elle avait vu, l’œuvre mise à l’Index parce que l’éditeur n’avait pas demandé l’autorisation au Vatican (pratique de l’époque, abandonnée depuis). Selon les directives de Jésus, sa publication devait être faite seulement après sa mort. En guise de testament spirituel, Maria Valtorta laisse comme souvenir, la phrase sui-vante: « J’ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer ».
Le 2 juillet 1973, sa dépouille a été transférée de Viarreggio à Florence dans une chapelle de la Santissima Annunziata.
Sa tombe, dans une des chapelles, mentionne ses titres de Gloire : «Tertii ordinis servorum Sanctae Maria sodalis – Hostia Deo grata – Divinarum rerum scriptrix (Membre du Tiers-ordre des Servites de Marie – Hostie agrée par Dieu – Scriptrice de choses di- vines.)»
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