Mgr de Ségur - Pour fortifier dans la piété et la confiance les chrétiens qui pratiquent déjà : "je ne suis pas digne de m'approcher ainsi de Dieu" - "je n'ose pas communier sans me confesser" - "j'aimerai communier plus souvent mais cela déplairait à ma famille" - Notes sur la communion fréquente pour : les enfants, les jeunes gens, les séminariste, les affligés et les malades. Imprimatur 1862.
Ce petit opuscule a soulevé plus d'orage qu'il n'est gros : il mettait le doigt sur la plaie vive de notre demi-jansénisme gallican en ce qui concerne l'usage pratique du sacrement adorable de l'Eucharistie. Il a été rudement attaqué : dans une grande ville, plusieurs curés ont cru devoir le dénoncer en pleine chaire, afin de prémunir leurs paroissiens contre le venin ; un bon vicaire, dans son zèle pour la pure doctrine, recueillait avec soin tous les exemplaires qui lui tombaient sous la main, et les brûlait avec une sainte ferveur ; on ne se gênait pas pour déclarer que c'était une vraie peste, un tissu d'absurdités, d'idées impraticables, etc. Le Pape, heureusement, ne fut point de cet avis, et, ce semble, Notre-Seigneur non plus. Reimprimatur 1862 !
Mgr de Ségur - Pour fortifier dans la piété et la confiance les chrétiens qui pratiquent déjà : "je ne suis pas digne de m'approcher ainsi de Dieu" - "je n'ose pas communier sans me confesser" - "j'aimerai communier plus souvent mais cela déplairait à ma famille" - Notes sur la communion fréquente pour : les enfants, les jeunes gens, les séminariste, les affligés et les malades. Imprimatur 1862. 61 pages.